Coca-Cola mise sur l'optimisme...
Depuis hier et pendant quatre semaines, Coca-Cola s'affiche, sur le net et à la télévision, le temps du 3e volet de sa saga publicitaire Happiness Factory.
"L'idée est d'inviter les consommateurs à passer - en mode positif - à devenir acteur de leur vie. On découvre dans cette campagne des personnages endormis, moroses, qui retrouvent la joie de vivre" explique Michel Gotlib, directeur Communication Marketing de la marque.
Propos recueillis par Alexandre DININ sur le JDD.fr
...découvrez l'ensemble de cet interview passionnant, en mode positif !
"L'idée est d'inviter les consommateurs à passer - en mode positif - à devenir acteur de leur vie. On découvre dans cette campagne des personnages endormis, moroses, qui retrouvent la joie de vivre" explique Michel Gotlib, directeur Communication Marketing de la marque.
Propos recueillis par Alexandre DININ sur le JDD.fr
...découvrez l'ensemble de cet interview passionnant, en mode positif !
A quand remonte cette idée d'inviter les consommateurs à passer "en mode positif"?
Depuis les prémices de la crise, en septembre 2008, nous avons souhaité renforcer notre image de marque positive et proposer aux Français l'énergie positive pour vivre une année 2009 plus optimiste.
L'ensemble des actions de la marque seront d'ailleurs placées sous le signe de l'optimisme.
En 122 ans d'existence, une crise a-t-elle failli emporter la marque?
Nous avons la chance d'avoir un produit très accessible et proposé à des prix très peu élevés.
Nous sommes toujours à l'écoute de nos consommateurs, et cette démarche nous a permis de nous adapter aux situations les plus difficiles.
Quel rôle jouez-vous dans la société en période de crise?
Nous sommes convaincus que les grandes marques peuvent jouer un rôle important dans ces périodes, en proposant une vision du monde positive.
Coca-Cola a toujours communiqué sur des valeurs de partage et d'optimisme, et nous avons décidé en 2009 de proposer aux Français des initiatives très concrètes.
Vous êtes vous déjà servi de la crise comme vecteur de communication ?
La crise n'a jamais été, et ne sera jamais, un vecteur de communication pour nous.
Par contre, il s'agit bien entendu, d'une période particulière au cours de laquelle il est primordial d'être encore plus à l'écoute et plus proches de nos consommateurs, de nos partenaires et de nos clients.
C'est également le cas auprès de nos 2.500 collaborateurs en France.
Le slogan de la pub est "Prends la vie côté Coca-Cola". C'est-à-dire?
C'est adopter un état d'esprit positif, c'est prendre la vie du bon côté.
C'est inviter nos consommateurs à voir le verre à moitié plein plutôt qu'à moitié vide.
C'est inviter chacun à être acteur de sa vie.
Vendredi, vous avez révélé les résultats d'un sondage CSA annonçant, en autre, que 64% des Français âgés de 15 ans et plus sont optimistes pour leur avenir.
Comment expliquez-vous un tel sentiment?
Il y a toujours un décalage important entre les préoccupations collectives et individuelles et, en général, tout individu est plus confiant pour son propre avenir que pour celui de la société dans son ensemble.
Nous retrouvons cette logique dans le sondage.
Avec 78% des 12-19 ans qui se déclarent optimistes pour leur avenir, les jeunes Français sont encore plus positifs que leurs parents.
Coca-Cola serait aussi "la première marque associée à l'optimisme auprès des 12-19 ans"...
En effet, pour rester attractif auprès de ce public particulièrement versatile, nous avons su rester à leur écoute et nous réinventer sans cesse.
Dans un contexte de surmédiatisation, le public, plus exigeant, recherche plus de sens, plus de cohérence et de contenu de notre part.
Nous redoublons d'efforts pour optimiser la pertinence et l'impact de nos initiatives, en activant les nouveaux moyens de communication, et en ne négligeant aucun point de contact.
Nous réussissons à instaurer une conversation avec eux, en entrant par leurs passions, et en faisant ainsi partie de leur quotidien via la musique, le sport, la mode et le digital.
Par exemple, cette année nous nous sommes associés à Nathalie Rykiel, et au groupe Justice & So-Me, pour lancer des bouteilles particulièrement colorées.
Qu'est-ce qui vous rend optimiste?
C'est de voir avec quelle rapidité des mécanismes de solidarité collective se mettent en place dans des périodes si difficiles, démontrant la capacité des individus de réagir et de s'adapter à ces nouveaux contextes, tout en restant positifs.
Nous allons proposer, dès le mois prochain, une plateforme d'entraide collaborative, en collaboration avec Skyrock, à destination de ceux qui veulent aider les autres à réaliser des projets positifs dans les domaines de l'environnement et de la musique par exemple.
En période de crise, avez-vous augmenté votre budget communication?
Quand une situation économique se dégrade, nous décidons en général de maintenir ou de renforcer nos investissements pour continuer à soutenir nos marques.
Nous n'hésitons pas à créer des opportunités de prise de paroles qui n'étaient pas initialement prévues.
Propos recueillis par Alexandre DININ sur le JDD.fr
Allez, au plaisir de vous lire...en mode positif !!!
1 De coca -
pour moi ça s'appele de la publicité gratuite :) , vous faite gratuitement la pub a cette marque de boisson